Ignès était de retour au château. Il était l'un des maîtres de la place qui jadis, vivaient tous ici. Depuis leur séparation, chacun d'entre eux avait pris part, de près ou de loin, à la guerre et aux querelles qui sévissaient. Il existait néanmoins, une sorte de «cessez le feux» pour ceux qui entrait en cette demeure. Elle était restée, pour tous, un symbole dans leurs souvenirs et par respect, on se devait d'être neutre face aux autre clan.
Le fondateur pyro avait décidé de fêter la victoire de ses deux premiers guerriers mais, il chechait à donner un goût particulier à la fête. Ses chefs cuisiniers lui aviaent tous préparé plusieurs mets à déguster mais, aucun d'entre eux avait la saveur dont il désirait. Pour cela, Ignès s'était très bien souvenu d'une épice qu'il avait utilisé dans nombreux de ses plats au château.
Dans son jeune temps, c'était lui qui fesait chauffer les fours et les plaques de cette cuisine. Sa maîtrise de son élément lui avait venu en aide dans son apprentissage de l'art culinaire. Depuis, il avait mit cette chose de côté et s'était intéressé à la guerre. Il était hors de tout doute que Ignès était l'un des meilleurs chef cuisiniers sur le chomor. À la petit différence qu'il ne maîtrisait toujours pas l'essoreuse à salade, il faut croire que ce n'était pas son élément.
Il ouvrait plusieurs tirroirs de cuisine mais, sans succès. Cette épice demeurait introuvable. Dans son temps, c'est la fondatrice des Sylvas qui se chargeait d'aller ceuillir les parfums et les saveurs. Elle connaissait les forêts comme le fond de sa poche mais, dans aucun cas Ignès ne pourrait la contacter pour lui demander des épices. Surtout qu'il avait envoyé un de ses homme sur ses terres aller chercher du gibier de ses forêts.
-«C'est pas la veine. Je n'arrive plus à me souvenir... où ai-je bien pu la mettre?»
Le fondateur ne fesait pas attention au bruit des vieilles casserolles ni aux ustensiles qui trainaient. Ce fesant, ses recherches furent très... sonore.