incendie, course poursuite et petit plongeon [à fermer]

[Commence juste après la présentation ; c'est-à-dire lors de la mise en déroute d’une bande d’incendiaire.]

Un bel hectare de forêt était promit à disparaître par la faute de ses hommes étendus au sol, Allegas en avait tué plusieurs de sang froid à l’aide d’un ou plusieurs traits habillement et placé ! L’un d’eux étendue au sol soufflait comme une bête en s’agitant de soubresaut, son épaule gauche déboîtée faisait pendre misérablement son bras lui aussi en compote.
Allegas se jeta dessus, lui coupant littéralement la respiration, il lui agita son sabre de bois, véritable arme de torture pour ce qu’avait put en juger le pyromane et lui hurla sèchement :

« -Qui êtes-vous ? Pourquoi faîtes vous ça ? »

Au lieu de répondre, l’homme s’agita de plus bel, ses ruades désordonnées firent même voler le frêle jeune homme à deux mètres de là, se relevant, il constata l’impossible ! L’homme avait sa propre langue, ce qui avait fait choir Allegas était en réalité des spasmes.
Dégoûté le demi-elfe frappa le sol d’un coup de poing rageur quand une flèche le manqua de peut, il esquiva un second trait d’une roulade, se redressa dégaina son lance pierre et tira un projectile avec une rare habilité, celui-ci atteint le garde entre les deux yeux qui poussa un cri d’horreur : La munition n’était autre qu’une graine qui en le frappant avait développé des racines qui avait pénétré dans sa gorge et son nez.
Allegas entendit un diantre sonore puis un bruit de course, habitué au déplacement en forêt, il repéra ou l’homme fuyait et le prie en chasse, récupérant au passage son bokken, il s’élança tel un chasseur pistant sa proie.
Ce qui est sur, c’est que l’homme n’était pas un amateur, mais un guerrier aguerrie qui arrivait à le distancer de plus en plus ! Quand soudain, la piste déboucha sur le vide, il parvint à peine à s’arrêter.

« -Elle aurait été rude celle là ! »

Fit-il en regardant en contre bas le lac et une espèce de construction en pierre.
*C’est donc ça la limite des terres de Sylva ! *
Quand soudain, il vit une tache sombre remonté à la surface et se diriger vers le sable avant de se remettre à courir.

« -diantre c’est pas possible ! Il est pas humain ce type ou quoi ? Enfin moi non plus ou pas tout à fait ! »

Il recula et s’élança, la chute sembla vertigineuse et l’eau glacée ! Il toucha le fond avec ses pieds et senti le sol vaseux se refermer sur ses pieds et ses genoux, ses poumons se vidèrent de tout air et il sentit alors toute la masse d’eau qui le séparait d’une goulée d’air frais. Après un grand effort, il se délivra de la vase et entreprit d’atteindre la surface ; des taches noires apparurent devant ses yeux, chaque mouvement de ses bras était une torture, puis soudain le trou noire !

Il se réveilla sur le bord de l’eau, le visage plein de sable, c’est alors qu’il vomisa eau et sable mêlée, il parvint à se tourner sur le dos regardant le ciel qui s’était couvert d’un épais manteau nuageux, si bien qu’une grosse goutte lui atterrie sur le visage, il attrapa son sabre de bois d’une main tremblante et se traîna sous un arbre, en haut de la falaise rocheuse, l’incendie succombait sous la pluie battante qui faisait rage maintenant.

[HRP: comme je l'espérais personne n'a répondu, je vais donc pouvoir clore ce topique obligatoire et passé pour de bon au RP. :HRP]

L'aube se levait, au-dessus de sa tête se mit à raisonner le son d'un battement rapide de quelque chose de dur sur quelque chose d'un peu plus mou mais de quand même vachement solide ce qui amena évidemment l'effet marteau piqueur!
Allegas leva la tête pour recevoir un petit truc blanc sur la joue, il le prit précautionneusement de son index gauche et tendit le doigt, un volatile vint aussitôt se poser sur son avant bras avant de saisir du bout du bec le vers blanc.

"Bah alors Woody, on ne t'a jamais après dans ton nid à ne pas gâcher la nourriture ?"

Le pivert le regarda d'un air incompréhensible, se lissa les plumes et finalement s'envola à vers les bois. Le jeune demi-elfe remit à peine de ses émotions de la veille partit, les jambes cotonneuses en direction de sa patrie.
De part la falaise, il évita la partie de forêt qui venait de brûler, mais s’attendait à une traversé beaucoup plus longue, qui lui promettait le temps de se rétablir complètement avant d’atteindre le camp le plus proche.

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